Au dessus de l'antartique (Et de plus en plus en artique), depuis les quinzes dernières années, l'ozone stratosphérique estdétruit a certaines périodes de l' annnée. Ceci est principalement dû au rejet de composés chimiques composes bromés reliés aux éspèces halogénées, et des oxydes d'azotes (NOx ). Les oxydes d'azotes sont d'utilisation courantes dans l'industrie et la vie quotidienne: on retrouve par exempledans les systemes réfrigerants, D'air conditionné, les bombes aérosols, les solvants ansi que dans la production de certains type d'emballage.Les oxydes d'azote sont quant a eux, produits les prossecus de combustion. On les retrouve par exemple parmi les effluents des réacteurs d'avions
Suite aux travaux de l'expédition scientifique de 1986 en Antarctique, Susan SALOMON puis James ANDERSON ont démontré que les teneurs en chlore étaient nettement supérieures aux "normales" dans les régions les plus affectées par la disparition de l'ozone.
Paul CRUTZEN, Mario MOLINAS et Frank SHERWOOD ont ensuite établi que les responsables sont des molécules chimiques produites par l'homme : les ChloroFluoroCarbones (CFC) et les halons.
Ces composés très stables montent lentement vers la stratosphère où ils catalysent la destruction de l'ozone. En effet, au contact des rayons ultraviolets (UV), ces gaz libèrent leur chlore par photolyse. De plus, les cristaux de glace présents dans les nuages d'altitude transforment les composés chlorés de l'atmosphère en chlore actif susceptible de détruire l'ozone.
Le trou d'ozone de l'Antarctique a atteint cette année un maximum pour la saison le 22 septembre avec 21,2 millions de km2, l'équivalent de la superficie combinée des Etats-Unis, du Canada et du Mexique. A titre de comparaison, le plus grand trou dans cette couche a été mesuré en 2000 avec 29,9 millions km2.
Le trou a commencé à se former chaque année aux pôles depuis le début de la décennie 1980 à cause des composés chlorés (chlorofluorocarbones ou CFC) utilisés par l'homme dans les systèmes de réfrigération et les aérosols. La production de CFC est désormais quasiment nulle, grâce au protocole international signé en 1985 à Montréal, mais ces substances chimiques persistent longtemps dans l'atmosphère. L'ozone, une molécule composée de trois atomes d'oxygène, se forme dans la stratosphère où elle filtre les rayons ultra-violets du soleil qui endommagent la végétation et peuvent provoquer des cancers de la peau.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire